vendredi 1 novembre 2013

Improving School Climate to Reduce Bullying

There seems to be no shortage of bad news about bullying in Canada these days. Suicides linked to bullying are regularly reported in the news. And we know that most students witness bullying at school, and many are directly involved in bullying sometime during a given school year. 20% of students—one in every five kids in nearly every school—is involved in bullying (as bully, victim, or both) on a weekly basis. This means that many kids' lives are being disrupted and scarred by bullying.

Bullying harms kids in nearly every way imaginable. Minimally, it disrupts their learning, as kids who are victimized tend to avoid school to avoid the bullying. The stress of bullying causes them to suffer anxiety and depression, and it undermines their feelings of safety and connection to school. We now know that children who witness bullying are also at risk for serious negative effects, including school disengagement, school avoidance, and, consequently, lower academic achievement.

Bullying is defined as "a relationship problem that requires relationship solutions" (www.prevnet.ca). This new way of thinking about bullying highlights the complex and powerful relationship dynamics that underpin bullying. And it provides a compelling rationale for the important role that adults—educators, parents, and community leaders—have in intervening in bullying situations and helping all children to learn better ways of relating to each other.

A relational understanding of bullying also connects directly to the growing appreciation of the links between school climate and bullying. School climate is a complex concept, but can generally be separated into four broad dimensions (Cohen, McCabe, Michelli, & Pickeral, 2009):

  1. Physical, social, and emotional safety
  2. Quality of teaching and learning
  3. Relationships across the school community
  4. Well maintained school with adequate space and resources

Améliorer le climat de l'école pour réduire le harcèlement

Il ne semble pas y avoir un manque de mauvaises nouvelles au sujet du harcèlement au Canada ces jours-ci. On rapporte régulièrement dans les nouvelles des suicides reliés au harcèlement. Et nous savons que la plupart des élèves sont témoins de harcèlement à l'école, et que nombreux sont ceux directement impliqués dans le harcèlement à un certain point dans une année scolaire donnée. 20 % des élèves – un enfant sur cinq dans presque chaque école – sont impliqués dans le harcèlement (en tant que tourmenteur, victime, ou les deux) sur une base hebdomadaire. Cela signifie que la vie de nombreux enfants est dérangée et marquée à jamais par le harcèlement.

Le harcèlement fait du tort aux enfants de presque chaque façon imaginable. Au minimum, il dérange leur apprentissage, puisque les enfants qui sont persécutés ont tendance à éviter l'école pour éviter le harcèlement. Le stress du harcèlement les amène à souffrir d'anxiété et de dépression, et il mine leurs sentiments de sécurité et de lien avec l'école. Nous savons maintenant que les enfants qui sont témoins de harcèlement sont aussi à risque de subir des effets négatifs sérieux, y compris le désintérêt envers l'école, l'école buissonnière, et par conséquent, des résultats scolaires inférieurs.

Le harcèlement se définit comme « un problème relationnel qui demande des solutions relationnelles » (www.prevnet.ca). Cette nouvelle manière de considérer le harcèlement souligne les dynamiques relationnelles complexes et puissantes qui sous-tendent le harcèlement. Et elle fournit un appui logique irréfutable du rôle important que les adultes ont – éducateurs, parents, et dirigeants de la communauté – en intervenant dans des situations de harcèlement et en aidant tous les enfants à apprendre de meilleures façons d'interagir.

Une compréhension relationnelle du harcèlement est directement liée à l'appréciation grandissante du lien entre le climat de l'école et le harcèlement. Le climat de l'école est un concept complexe, mais peut généralement être séparé en quatre grandes dimensions (Cohen, McCabe, Michelli, & Pickeral, 2009) :

  1. La sécurité physique, sociale et émotionnelle
  2. La qualité de l'enseignement et de l'apprentissage
  3. Les interactions sociales dans la communauté de l'école
  4. Le bon entretien de l'école avec des ressources et des espaces adéquats.